MSI Katana 15 : Revue du modèle 2023 avec l’ordinateur portable NVIDIA GeForce RTX 4070

La MSI Katana 15 B12VGK critique du produit stars un ordinateur Portable suspendu entre deux générations qui tente de maintenir des prix nettement supérieurs à ceux de 2019 en associant un processeur Intel Core i7-12650H sorti l'année dernière à un nouveau portable NVIDIA GeForce RTX 4070 rutilant, bien que castré par certains choix de design. Mais l'objectif poursuivi, fortement décrété par la dalle 1080p de 144 Hz, est sans doute à la portée d'un appareil qui promet également des températures et un bruit faibles grâce à cette configuration.

Caractéristiques techniques

Le MSI Katana 15 B12VGK est un petit ordinateur portable de jeu, un 15 pouces qui vise les. le jeu en 1080p à des taux de rafraîchissement élevés grâce au NVIDIA GeForce RTX 4070 Laptop, un GPU sans doute à la hauteur d'une telle configuration qui se contente de 8 Go de mémoire pour maîtriser les prix. La même intention a également conduit le fabricant à monter un processeur Intel de génération précédente, un Core i7-12650H avec un boost maximal de 4,7 GHz et 10 cœurs, dont 6 à haute performance et 4 à haute efficacité. Nous parlons donc d'une puissance nettement inférieure à celle des modèles supérieurs, qui sont équipés de CPU de treizième génération avec 20 et 24 cœurs, bien qu'indubitablement adéquate pour un appareil principalement destiné aux jeux.

Même si les compromis sont le résultat de choix de conception, il est difficile de ne pas lever le nez sur une batterie de 53,5 Wh pour un ordinateur portable qui coûte de toute façon plus cher qu'on ne l'aurait espéré. Soyons clairs, il n'est pas possible, à moins de vouloir s'indigner à tout prix, de passer sous silence l'augmentation des coûts de production des puces, les déboires dus à la complexité de la situation mondiale et à la spéculation. Tout cela a contribué, nous ne le savons que trop bien, à une augmentation considérable des prix pour l'ensemble du segment des PC, en particulier pour les ordinateurs portables. Mais si les 1599 dollars du marché américain ne sont pas mauvais, entre les taxes et les suppléments, le prix domestique avoisine les 2000 euros. Il n'est donc pas très éloigné de la dépense nécessaire pour acheter des modèles équipés de processeurs plus récents et plus puissants et d'écrans supérieurs tant en définition qu'en qualité. Mais les économies, à moins d'avoir des besoins spécifiques, sont toujours les bienvenues et il est possible de garder quelques centaines d'euros de plus dans sa poche en se contentant du modèle avec 512 Go de stockage, disponible pour un peu plus de 1800 euros.

Les Panneau IPS 1080p présente les mêmes spécifications que celle du MSI Pulse 17 : taux de rafraîchissement de 144 Hz et couverture de l'espace colorimétrique de 45 %. Le SSD Samsung est également le même, un modèle de milieu de gamme qui n'utilise pas toute la bande passante PCIe 4.0. Enfin, on remarque le manque de détails, à l'exception du logo en relief sur le couvercle de part et d'autre duquel se trouvent deux fines lignes inclinées et quelques frises infiniment petites. Mais tout cela, dans un ordinateur portable de jeu, passe au second plan par rapport au GPU.

Les compromis se reflètent également dans le connectivité, qui manque d'un lecteur SD et de ports Thunderbolt., le seul port USB-C s'arrêtant à la norme USB 3.2 Gen 1. Par ailleurs, la connectivité réseau est de 1 Gb, insuffisante pour profiter des nouvelles connexions par fibre. Mais l'équipement global est suffisant pour l'utilisateur lambda. Il y a en effet deux ports USB-A 3.2 Gen 1 et un port USB-A 2.0, la sortie HDMI 2.1 permet de profiter des moniteurs 4K jusqu'à 120 Hz, et le port USB 3.2 Gen 1 Type-C fonctionne également comme un DisplayPort.

Côté logiciel, nous retrouvons l'habituel pack MSI Center qui comprend les modes économie de batterie, silencieux, équilibré, performance extrême avec overclock GPU personnalisable et le mode AI qui change de scénario en fonction de l'utilisation. En outre, nous pouvons sélectionner l'option MSHybrid pour alterner entre les GPU intégrés et discrets selon les besoins, mais elle nous donne également la possibilité d'activer un seul des deux GPU, celui intégré étant résolument limité mais aidant la batterie et celui discret offrant toujours des performances maximales, sans aucun hoquet dû à l'alternance des deux puces graphiques.

Fiche technique MSI Katana 15 B13VGK

• Typologie : Ordinateur portable
• CPU : Intel Core i7-12650H avec 10 cœurs et 16 threads @4700 MHz
• GPU : NVIDIA GeForce RTX 4070 Ordinateur portable 8 Go GDDR6
• Écran :
  • 15 pouces de type IPS avec un rapport d'aspect de 16:9
  • Résolution Full HD (1920 x 1080)
  • Rafraîchissement 144 Hz
  • Switch MUX avec le mode GPU discret
• RAM : 2 x 8GB DDR5 @4800 MHz CL 40
• Stockage : RAID 1x 1 TB SSD Samsung MZVL4 PCIe 4.0
• Connectivité sans fil : Wi-Fi 6 AX201, Bluetooth 5.2
• Ports :
  • 1x USB-C 3.2 Gen 1 (avec fonctionnalité DisplayPort)
  • 2x USB-A 3.2 Gen 1
  • 1x USB-A 2.0
  • 1x HDMI 2.1 (8K @ 60 Hz / 4K @ 120 Hz)
  • 1x prise audio combinée 3,5 mm
  • 1x Ethernet 1 Gb
• Batterie : 53.5 Wh 3 cellules
• Clavier : chiclet avec course de 1,7 mm et 4 zones RGB Mystic Light
• Audio :
  • 2 haut-parleurs de 2 W
  • Améliorateur audio Nahimic
  • Nahimic Surround 3D
  • Hi-Res Audio
• Dimensions : 359 x 259 x 24,9 mm
• Poids : 2.25 Kg
• Prix recommandé : 1999 €

Conception

Le design du MSI Katana 15 est spartiate et nous ramène à l'époque des premiers ordinateurs portables de jeu, avec un cadre supérieur trapézoïdal, qui fait bien sûr office de webcam 720p. Sans surprise, il n'y a pas de talon ni même le connectivité arrièremais cette configuration, à défaut d'autre chose, réduit la surface globale, aide à réduire le poids, qui est d'environ 2,25 kg, et permet à l'écran de s'ouvrir à près de 180 degrés.

Les cadres latéraux, il faut le dire, sont plutôt fins, mais dans l'ensemble, l'esthétique n'est certainement pas de celles qui marquent les esprits. Tout, d'ailleurs, est en plastique, bien que plutôt robuste et usiné pour ressembler à de l'aluminium sur le couvercle et à l'intérieur. Rude au contraire est le ventre qui, plein de grilles, laisse entrevoir les tubes en cuivre de la dissipation.

Sinon, seuls les clavier RVB de type chiclet avec des touches assez larges et un pavé numérique.qui, comme d'autres éléments de ce modèle, est identique à celui du MSI Pulse 17. D'où les capuchons de touches transparents pour la combinaison de touches WASD et la touche d'alimentation, qui sont donc tous identifiables instantanément, ainsi que les grandes icônes de style gaming pour les flèches directionnelles, qui servent également de touches de fonction. Et c'est l'aspect le plus convaincant en matière de design.

Écran

L'écran, dépourvu de technologies de synchronisation telles que G-Sync ou FreeSync, s'avère être un point faible pour l'ordinateur portable de milieu de gamme de MSI. En fait, les problèmes sont les mêmes que pour le MSI Pulse 17, à commencer par la faible résolution, qui limite le potentiel d'un GPU qui, bien que castré, se déplace plutôt bien en 1440p, à… des temps de réponse lourds qui se traduisent par un ghosting visible dans les tests dédiés.. Heureusement, dans les jeux, le phénomène n'est perceptible qu'avec les titres à grande vitesse, mais ce n'est guère un plus pour un ordinateur portable 1080p 144 Hz qui lorgne aussi sur les jeux de compétition.

À ce qui précède, il faut ajouter un couverture limitée des couleurs , ce qui donne une image peu vivante et réduit le potentiel d'utilisation professionnelle de l'ordinateur portable. Le rendu global est suffisant pour les besoins de l'utilisateur moyen et permet tout de même de jouer avec une qualité décente, mais entre les différentes limitations et le contraste réduit, la qualité de l'image n'est certainement pas celle d'un écran haut de gamme.

Performances : résumé des points de repère

En parlant d'ordinateurs portables, les performances ne dépendent pas uniquement du matériel. L'alimentation et le mode de fonctionnement jouent un rôle important, car la configuration d'alimentation de référence d'un ordinateur portable peut être inférieure à celle d'un autre en raison de facteurs tels que la taille, la dissipation et les choix du fabricant en matière de température et de bruit. Et il est bon d'en tenir compte, surtout avec un ordinateur portable comme celui de MSI qui est conçu pour fonctionner en mode équilibré, le mode de référence de nos tests en même temps que le mode de performance maximale de Windows 11, de façon à assurer la bonne quantité de puissance pour le jeu en 1080p tout en maintenant le bruit aussi bas que possible.

Cela dit, dans le cas des jeux, nous avons évidemment fait quelques tests en mode performance extrême, de manière à évaluer la marge de gain, et en mode batterie. Mais revenons au mode équilibré et à la benchmarks synthétiques.

Le processeur de douzième génération, qui en mode équilibré tourne à environ 3600 Mhz tous cœurs confondus, est un modèle à 10 cœurs forcément plus limité que les modèles de nouvelle génération, mais sans aucun doute suffisant pour un appareil conçu avant tout pour le jeu. Le frein imposé par le mode équilibré se traduit par seulement 7 pour cent de moins que le même modèle poussé à plein régime, tandis que le système est toujours réactif et que les chargements sont définitivement rapides, malgré le SSD qui s'arrête à environ 3665 Mo/s en lecture séquentielle et 3015 Mo/s en écriture séquentielle.

Il en va de même pour le GPU, dont les performances sont inférieures d'environ 7 % à celles d'un ordinateur portable NVIDIA GeForce RTX 4070 à pleine vitesse, ce qui le place souvent quelque part entre celui-ci et l'ordinateur portable NVIDIA GeForce RTX 4060 du MSI Pulse 17. Mais lors des tests de ray tracing pur et de DLSS 3, où les cœurs spécialisés s'expriment, les performances s'approchent enfin du maximum, même si une légère différence subsiste du fait que le GPU est clairement freiné dans ce mode équilibré.

Mais avant de passer au jeu, parlons aussi brièvement du système audio avec deux haut-parleurs de 2W, limité par des basses quasi inexistantes mais caractérisé par un volume, des médiums et des aigus moyens. Il arrache donc la suffisance, grâce aussi au faible niveau sonore de l'appareil.

Performance : jeux

Malgré les 8 Go de mémoire et malgré le fait que le mode équilibré ne sollicite pas le GPU au maximum, les fréquences glissant jusqu'à 1615 MHz dans les jeux les plus lourds, le NVIDIA GeForce RTX 4070 Laptop du MSI Katana 15 permet de jouer à des taux d'images élevés en 1080p, la résolution du panel de l'ordinateur portable, sans faire de compromis sur les paramètres graphiques ou presque, étant donné la nécessité d'activer DLSS 3 avec Frame Generation pour obtenir des taux d'images élevés avec les jeux qui utilisent le ray tracing dans une mesure significative.

En résolution 1080p, on le sait, les incertitudes de l'upscaling NVIDIA deviennent plus visibles compte tenu de la très faible résolution de rendu native, mais le rendu de l'image est néanmoins très élevé grâce à une diagonale de 15 pouces qui masque aussi, au moins en partie, les écarts de définition avec A Plague Tale : Requiem en ce qui concerne la végétation, peut-être le principal point faible de la technologie NVIDIA. Le problème, s'il en est un, réside dans les performances, qui sont dans certains cas même inférieures à celles du portable NVIDIA GeForce RTX 4060 du MSI Pulse 17. Cela est dû à une combinaison d'équilibrage logiciel, aux limites inhérentes à la NVIDIA GeForce RTX 4070 et à un CPU qui tourne à environ 3500 MHz sous contrainte dans les jeux. Mais dans F1 22 et A Plague Tale : Requiem, les différences entre les deux GPU passent au premier plan et, comme nous l'avons déjà mentionné, la puissance de jeu du système est suffisante par rapport à l'écran monté.

Plus précisément, nous parlons de taux de rafraîchissement allant de 90 à 150 FPS, ce qui permet d'excellents jeux en Full HD. La seule exception est A Plague Tale : Requiem avec des ombres en ray tracing particulièrement éprouvantes pour le matériel, mais le titre d'Asobo Studio tourne tout de même à 79 FPS avec l'upscaling en mode qualité, s'avérant plus fluide que Watch Dogs : Legion, qui s'arrête à 64 FPS à cause du DLSS 2, pourtant paramétré en mode performance. Il n'y a cependant pas de problème lorsqu'il n'y a pas de DLSS, mais l'utilisation du ray tracing n'est pas non plus un défi, comme en témoignent les moyennes oscillant entre 79 FPS et 94 FPS.

En désactivant DLSS 3 dans les quatre jeux qui le prennent en charge, celui qui s'en sort le mieux est l'agile F1 22, qui dépasse largement les 70 FPS. Mais il joue également bien avec le lourd Flight Simulator, bien qu'il s'agisse du titre le plus gourmand en CPU, comme en témoignent les scores inférieurs à ceux de la Pulse 17 équipée d'une NVIDIA GeForce RTX 4060. Il joue aussi décemment avec le lourd A Plague Tale : Requiem avec des ombres ray tracées. Les minima, il faut le dire, avoisinent les 27 FPS, mais la moyenne réelle est stable autour de 33 FPS et est suffisante pour jouer. De plus, il est possible de désactiver les ombres par ray tracing pour une fluidité proche de l'idéal.

L'autre titre qui souffre de l'absence d'upscaling est Cyberpunk 2077, qui affiche une moyenne de 30 FPS, mais subit des creux d'un peu plus de 20 FPS, et le fait d'être rempli d'action à la première personne exige une plus grande fluidité pour être appréciable. Il devient donc obligatoire de renoncer à quelque chose pour se passer du DLSS, mais ce dernier sacrifice n'est certainement pas nécessaire.

Comme mentionné plus haut, les performances de l'upscaling NVIDIA sur un écran de 15 pouces sont déjà très bonnes en 1080p et deviennent excellentes en résolution 1440p, où le GPU, se délestant d'une partie des freins du CPU, commence à l'emporter sur le NVIDIA GeForce RTX 4060 Laptop et parvient à pousser tous les titres de nos tests à plus de 50 FPS, dépassant les 60 FPS dans la plupart des cas, avec des basses supérieures à 40 FPS. Il est donc conseillé, avec les titres qui supportent DLSS 3, de pousser l'upscaling de la résolution Windows à 1440p pour jouer entre 50 et plus de 60 FPS avec un excellent rendu d'image, net bien sûr de la résolution native de la dalle, qui s'arrête de toute façon à 1080p.

L'upscaling est également très utile pour jouer en mode batterie, ce qui, comme dans le cas du MSI Pulse 17, nous a positivement surpris. Dans ce cas, nous parlons d'une baisse de performance, par rapport au mode équilibré, de 42,5 pour cent et elle est suffisamment faible pour jouer à Cyberpunk en 1080p à plus de 60 FPS, avec DLSS 3 actif en mode performance mais aussi avec le ray tracing en mode fou.

Overclock

Un autre moyen de tirer le meilleur parti de ton ordinateur portable MSI est de régler le paramètre mode performance extrême, dans notre cas en poussant les fréquences du cœur du GPU de 100 Mhz et de la mémoire vidéo de 200 MHz. Ce faisant, comme nous le verrons, le bruit augmente, mais les performances aussi, quoique de façon inégale. Dans les jeux freinés par le CPU, en fait, l'augmentation des performances est d'environ 2 %, mais elle devient beaucoup plus substantielle à une résolution de 1440p, où le NVIDIA GeForce RTX 4070 Laptop du MSI Katana 15 commence à s'exprimer plus librement, atteignant même des marges de 13,5 % dans Cyberpunk 2077.

Températures, bruit et consommation d'énergie

La dissipation du MSI Katana 15 est favorisée par le processeur de la dernière génération et un mode équilibré qui ne pousse pas un GPU déjà bridé à ses limites en raison de la puissance en watts. Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut déprécier un système de refroidissement qui, dans les opérations de bureau, parvient à maintenir le processeur dans la zone des 50 degrés malgré un bruit presque nul.. Et le comportement en jeu est également très bon, le GPU discret s'arrêtant à 76 degrés et le CPU oscillant entre 76 et 90 degrés, ce qui est très bien même pour un CPU 10 cœurs 12e génération si l'on considère que le niveau de bruit n'est que de 37 décibels.

Sous charge, il faut le dire, le processeur atteint même 95 degrés, ce qui déclenche un étranglement thermique, mais en montant les ventilateurs de quelques tours, il est possible d'atteindre un excellent équilibre entre le bruit et la température. L'image qui se dégage du mode performance extrême, avec un overclock de 100 MHz sur le GPU et de 200 MHz sur la mémoire vidéo, est également excellente. Le bruit augmente fortement, passant d'une brise légère à une petite tornade, mais les 48 décibels garantissent des températures extrêmement basses. Dans les jeux, le GPU se glisse dans la zone des 60 degrés, tandis que le CPU oscille même entre 53 et 60 degrés.

Pour en revenir au mode équilibré, recommandé pour le gaming en résolution portable compte tenu du frein imposé par le CPU limitant les gains de performance en 1080p, la petite taille entraîne cependant une augmentation de la température du châssis lorsque le système est sollicité. Mais le problème, qui ne concerne pas l'utilisation bureautique, concerne surtout la zone des touches de fonction. Sinon, là où se trouve la combinaison WASD et toutes les autres touches les plus utilisées pour les jeux, le clavier reste tiède.

Comme pour le MSI Pulse 17, en substance, les mérites et les défauts des choix du constructeur sont évidents, nous mettant en face d'un ordinateur portable silencieux et, grâce aussi à un petit bloc d'alimentation, facile à transporter. Au final, ce Katana 15 reste un remplaçant d'ordinateur de bureau de plus de 2 kg, mais il peut être utilisé en déplacement avec une relative tranquillité d'esprit et offre d'excellentes performances pour les jeux. Certes, l'autonomie de 53,5 heures est loin d'être exceptionnelle, mais les plus de trois heures de lecture vidéo sont suffisantes pour la plupart des films et l'autonomie en situation de stress, où les performances sont très bonnes, reste autour d'une heure, le seuil critique de la plupart des ordinateurs portables de jeu.