Accueil News Activision Blizzard : l’accord immédiat entre Microsoft et CMA est le résultat...

Activision Blizzard : l’accord immédiat entre Microsoft et CMA est le résultat d’une erreur journalistique

144
0


L'hypothèse d'une rapide Microsoft et le semble être le résultat d'une erreur journalistique, qui prenait pour acquis le résultat des nouveaux pourparlers entre la société basée à Redmond et l'organisme antitrust britannique l' d'Activision Blizzard.

Une situation compliquée

Une erreur journalistique a entraîné un certain malentendu
L'erreur journalistique a donné lieu à un certain malentendu.

Comme il s' avéré par la suite, les négociations sont toujours en haute mer et la CMA n'a fait aucun pas en arrière face à la petite cession proposée par Microsoft. CNBC, le premier média à rapporté la nouvelle, avait pourtant initialement parlé d'une acceptation pratiquement immédiate de la nouvelle proposition par la CMA, au point de suggérer que l'organisme antitrust britannique avait en quelque sorte été persuadé par la décision favorable à Microsoft sur la demande d'injonction préliminaire de la FTC de revenir sur ses pas, de manière assez humiliante aussi, du d'après la façon dont toute l'affaire a été rapportée.

Lire aussi :  Call of Duty Mobile dépasse les 3 milliards de dollars de revenus, l'aile mobile d'Activision est la plus forte.

En réalité, les choses se sont déroulées tout à fait différemment, comme on le comprend maintenant, la CMA ayant… rejeté l'offre Microsoft et n'a accepté de réétudier l'acquisition qu'à condition que Microsoft refasse un contrat avec Activision Blizzard, relançant pratiquement le processus.

En fait, au Royaume-Uni, l'acquisition reste toujours d'actualité bloquée et, à quelques jours de la fin de la période convenue entre Microsoft et Acivision Blizzard pour la conclusion de l'acquisition, l'ensemble du processus pourrait être encore ralenti, excluant toute tentative à portée de main de conclure l'affaire de toute façon.

Lire aussi :  Steam : 41 000 jeux lancés au cours des trois dernières années, 50 % ont rapporté 500 $ ou moins.

En bref, semblent avoir chanté victoire un peu trop tôt, la décision d'hier aidant certes Microsoft mais ne dénouant pas tous les nœuds du problème.